Une orangerie et un rucher datant des années 1830-1840 témoignent d'un premier parc. A proximité de l'habitation, le tracé régulier s'orne de topiaires et de cabinets de charmille et d'un espace paysagé créé au début du XXème.
Une partie des statues, des amours et des vases qui ornaient le parc voisin de la Malgrange entoure aujourd'hui cette demeure de campagne du XVIII° siècle. La chapelle Notre-Dame-de-Montaigu rappelle les nombreux ermitages qui virent le jour...
De prime abord, le parc tracé pour le baron de Mesny semble illustrer les principes qui amènent à faire un beau paysage de ce bien. Ce jardin du paraître dissimule en fait un jardin de l'être
80 anciens trous d'eau dans lesquels on faisait autrefois rouïr le chanvre reliés entre eux par un sentier bucolique. A voir par temps clément, lors d'une visite de cave et de la Maison de la Polyculture de Lucey ou lors d'un passage à l'auberge...
Dessiné pour la maison de plaisance d'un riche ecclésiastique, ce jardin s'étage sur trois terrasses d'où la vue porte sur la vallée de la Meurthe jusqu'à la chartreuse de Bosserville
Tout en servant de cadre à des présentations de sculptures contemporaines, ce jardin de village possède son potager, ses fruitiers et ses bouquets vivaces. Dans ce cadre presque traditionnel
Imaginé, dessiné et réalisé par Raphaël Arnoult et Lionel Gonzalez, ce jardin a été ouvert au public en avril 1999. Sa composition s'inscrit dans un ample paysage rural, à l'une des extrémités du village
Château, propriété de la famille de Lambertye depuis 4 siècles. Ancienne forteresse bâtie sur la rivière la Mortagne. Le château fut incendié en 1914 et reconstruit par l'architecte Laprade sur les murs extérieurs de celui du XVIIIème
Il a suffit d'une poignée d'hommes en 1790 pour créer les faïenceries de Sarreguemines. De talentueux esprits vont insuffler tout au long du XIXème siècle un vent de créativité sur les rives de la Sarre
L'ensemble architectural dominant Cons comprend un impressionnant château des XVI° et XVII° siècles, un prieuré et l'église du village. En cours de remise en valeur, les jardins comprendront un verger en terrasse et un jardin bouquetier
Récemment restauré, le parc du musée est la seule partie subsistante du terrain de cinq hectares qu'Eugène Corbin fit aménager dans les années 1909-1912 pour accompagner sa demeure
L'un des plus vastes jardins en terrasses de Lorraine conserve encore ses soutènements d'origine (1702), reliés par quatre escaliers monumentaux. Parc multiple, il recèle également un potager en creux