Patrimoine Culturel

Jean Molette est né le 7 avril 1819 à Chénelette. Il passe son enfance à Poule-les- Écharmeaux où ses parents sont venus s'installer et où il est inhumé aujourd'hui. Il passe sa vie entre ces deux communes distantes de 5 km

Cette solide forteresse aux deux tours domine un Domaine viticole de plus de 50 hectares de vignes d'un seul tenant entièrement classées en appellation Brouilly. Ce terroir, idéalement situé entre 300 et 330 mètres d'altitude, très bien orienté

Cette maison de Lorette, inscrite à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques en 2003, a été restaurée entre 2002 et 2005. La restauration était devenue indispensable, et elle a permis de découvrir de grande richesses architecturales...

Ancienne propriété de Beaujeu des X°, XII°, XIV°, XVII° et XIX° siècles (origine du Beaujolais). Toujours dans la même famille depuis 1566 ! Demeure habitée toute l'année. Excellents vins à déguster sur place

Château construit au 16ème siècle, sur les ruines d'un manoir fortifié du 12ème siècle

Au XVIIème l'Hôtel Dieu se substitue aux vieux établissements devenus vétustes. L'Hôtel Dieu est construit à partir de 1644 grâce aux dons de Nicolas Gay puis de Guillaume Corlin

Monument historique du XVIIème siècle réalisé sur les plans de Mansart. Visite de ses jardins dessinés par Lenôtre et dégustation dans sa cave, la plus longue du Beaujolais (108 m) sur rendez-vous

La basilique est remarquable par son style, par la diversité des matériaux employés et par la richesse de sa décoration intérieure. Dans une vision mystique de la religion, Pierre Bossan a voulu construire un édifice parlant

Au XII° siècle, Oingt était une place forte. La tour-donjon a été construite entre 1181 et 1193, elle faisait partie de l'ensemble du 2ème château où résidaient les seigneurs d'Oingt

Ce cimetière est une nécropole nationale, nommée Tata sénégalais. Y reposent 188 soldats nommés ou inconnus, tous venus de la grande Afrique et tombés au combat de Chasselay-Montluzin en juin 1940

C'est la plus vaste et la plus noble des maisons caladoises. Une cour d'honneur, seul exemple à Villefranche, sépare le corps principal de la rue. Une élégante galerie Renaissance la limite du côté Nord

La cour toute en longueur est fermée côté Sud par une galerie de deux étages entièrement réalisée en bois, seul exemple subsistant à Villefranche. Ce devait être à l'origine le cas de la plupart, voire de toutes les galeries